1. |
Les fautes
02:31
|
|||
Est-ce qu’on survit,
aux fautes déjà commises.
Est-ce qu’on va survivre,
aux fautes qu’on va commettre.
Sont-elles déjà là.
Je ne vois plus ton coeur,
il sombre dans nos douleurs.
Je ne vois plus notre maison,
elle s’effondre avec ma raison.
Est-ce qu’on survit,
aux fautes déjà commises.
Est-ce qu’on va survivre,
aux fautes qu’on va commettre.
Sont-elles déjà là.
Je ne vois plus ton coeur,
il sombre dans nos douleurs.
Je ne vois plus notre maison,
elle s’effondre avec ma raison.
Est-ce qu’on survit,
aux fautes déjà commises.
Est-ce qu’on va survivre,
aux fautes qu’on va commettre.
Sont-elles déjà là.
|
||||
2. |
Tes ailes
05:55
|
|||
Des croyances légionnaires,
érodent le temps buveur de lait.
Moribond, le sexe érigé,
vers les nimbes, d’un drapeau épistolaire.
Son ombre, sur les vertiges du prieur,
assassine les couleurs.
La bouche ouverte,
sur les plaintes du désert.
Tu pleures maintenant,
vers les rêves de tes mères.
Misérable enfant,
tu t’es sacrifié au soleil trop pressé.
Je n’ai plus rien sur la peau que son écho.
Les mots sont cachés sous les tatouages.
Et les corps peints glissent le long des mirages,
car naguère les souvenirs possédaient un lieu d’imago.
Les sentences des bréviaires,
plient les âmes vers la terre.
L’horizon n’est plus qu’un trait,
vers les limbes d’un sanctuaire agraire.
Sur les murs, les vestiges des conteurs,
ravivent l’histoire et les douleurs.
Les yeux fermés,
sur l’absence de tes frères.
Tu pleures maintenant,
vers les rêves de tes mères.
Misérable enfant,
tu t’es sacrifié au soleil trop pressé.
Tu ne vois plus les fils qui t’entrainent vers le ciel.
Ta voie est un espace où transite les esprits faméliques.
Et les espèces éphémères voyagent sur ton âme synthétique.
Comme un résident, un endroit où nous étions plein de fiel.
|
||||
3. |
Les âmes à l'envers
03:03
|
|||
Les âmes à l’envers
flottent à l’orée des mystères
les âmes à l’envers
n’ont que faire de votre calvaire.
Les âmes à l’envers
sont des âmes en colère
ils retiennent leur soufflent
pour ne pas sombrer dans les gouffres.
Les âmes à l’envers
ont jetés à terre, la chair et les os
sonnent la corne dans le désert des égos.
Ils franchissent les décors
murmurent les outrages faites aux pierres
d’une image, d’un adieu, d’un aveu fait aux morts.
A jamais, pour toujours
regarde bien le levé du jour.
Les mots sont des accords
qui sonnent les jours de célébrations
Tu n’es pas coupable des cris éternels
qui résonnent dans les nuits bleu ciel.
Et réveil d’un frisson
toutes ces villes et leurs fortifications.
Les âmes à l’envers
ont jetés à terre, la chair et les os
sonnent la corne dans le désert des égos.
Ils franchissent les décors
murmures les outrages faites aux pierres
d’une image, d’un adieu, d’un aveu fait aux morts.
Les âmes à l’envers
sont des âmes en colères
ils retiennent leurs soufflent
pour ne pas sombrer dans les gouffres.
|
||||
4. |
Reset Eve
03:33
|
|||
Des ondes paraboliques
Des réseaux numériques
Je voyage dans les failles
Et mon corps perd ses écailles.
Des tissus synthétiques
Des sourires énigmatiques
Je dérive dans le ciel
Et mes yeux sont bleu, pixel.
Le cyclope a deux nombres
Et Ulysse, dans la mer sombre.
Sur des guitares électriques
Oscille un pendule ésotérique
Sur les fréquences des rayons gamma
Se désintègre les émissions bêta.
Dans la nuit un halo magique
La présence d’une déesse magnétique
Elle a la beauté d’un élan archaïque
Et pleure le continent océanique.
Le cyclope a deux nombres
Et Ulysse, dans la mer sombre.
Il existe dans ce pays
Une fleur, qui la nuit
Du noir un rouge fleurit.
Dans la douleur elle prédit
touche le coeur des indécis
Et flirt avec la vie.
|
||||
5. |
Les couleurs grises
06:40
|
|||
Le firmament tisse, l’étoffe que tu portes
Les liens qui défilent, détissent ta réalité.
Moi, je n’avais que mon ombre sur le dos
Comment alors, pourrais tu m’apercevoir.
J’entends l’écho lasse de nos rumeurs
Rouler, sur les moindres faiblesses de notre bonheur.
Je te parle de l’amour, qui nait en nous chaque jour
A toi qui en a déjà connu, de toutes les couleurs.
Tu es blanche
Je suis noir
Nous composons
L’illusion et le réalisme
Des gris
Les mots posés, entre deux pages
Certains désespérés, d’autres remplis d’images.
Objet élitiste, qui revendique la somnolence d’une éternité.
L’amour abuse des regards, dénudé par l’injustice.
Quand des vents insidieux, se glissent sur la nonchalance de nos draps
L’oreille creusé par des dieux, se couvre de nuages.
Une envie, un geste, un vide éloquent
Le souffle coupé, par les promesses des sentiments.
Tu es blanche
Je suis noir
Nous composons
L’illusion et le réalisme
Des gris
|
||||
6. |
Toi et moi
04:13
|
|||
Je te comprend,
comme, tu me comprends.
Tu me comprends,
comme, je te comprend.
Et lorsque je lève les yeux,
je vois tes yeux.
Mais les tiens, ne sont que les miens
quand, les miens ne sont que les tiens.
Et quand tes lèvres bougent,
tu vois les miennes qui bougent.
Le signal est trop fort,
pour que nos corps s’envolent vers la mort.
Sais tu jamais, qui de nous à tort,
et pourrait se faire surprendre par les remords.
par les remords, par les remords.
Tu me regardes,
comme je te regardes.
Je te regardes,
comme tu me regardes.
Et lorsque tu touches mon corps,
je touche ton corps.
Mais le mien n’est que le tien,
lorsque le tien n’est que le mien.
Et lorsque mes mains se serrent
les tiennent se serrent.
Le signal est trop fort,
pour que nos corps s’envolent vers la mort.
Sais tu jamais, qui de nous à tort,
et pourrait se faire surprendre par les remords.
par les remords, par les remords.
|
||||
7. |
Départ
03:56
|
|||
Dans la forêt des soupirs
de nombreux désirs se sont perdus.
Sur les chemins escarpés
tu m’as oublié.
Entre les arbres et les ronces
le ciel découvre, de profondes morsures.
La soie plissée de ta robe
éblouie l’aube.
Sur les sentiers du pardon
s’effeuille ma raison.
Je suis rentré orphelin
avec mon chagrin
Exulte, l’horizon,
dit lui qu’il se méprend
qu’un voeux peut toucher
l’étoile polaire
et changer les couleurs de la mer.
Dans la forêt des soupirs
de nombreux désirs se sont perdus.
Sur les chemins escarpés
tu m’as oublié.
Entre les arbres et les ronces
le ciel découvre, de profondes morsures.
La soie plissée de ta robe
éblouie l’aube.
Sur les sentiers du pardon
s’effeuille ma raison.
Je suis rentré orphelin
au petit matin.
|
Streaming and Download help
R7EVE recommends:
If you like R7EVE, you may also like:
Bandcamp Daily your guide to the world of Bandcamp